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Grosses fatigues http://triclair.fr/forum/viewtopic.php?f=3&t=2213 |
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Auteur: | Running Duck [ Mercredi 01 Mars 2006 13:05 ] |
Sujet du message: | Grosses fatigues |
http://www.e-sante.be/be/magazine_sante ... 73-art.htm Grosses fatigues Un athlète n'est pas constitué uniquement d'un cœur, de poumons et de muscles. Il possède aussi un cerveau. Et lorsque celui-ci fatigue, tout le reste part à vau l'eau. La science moderne se caractérise par un très fort cloisonnement entre les spécialités. Moralité: on trouve assez peu d'études qui mêlent des considérations à la fois de physiologie et de psychologie sportive. Mais les choses sont en train de changer grâce notamment aux travaux de physiologistes américains comme Morgan et Pollock. Ces auteurs sont parvenus en effet à corréler l'évolution des charges d'entraînement et les tendances dépressives passagères. Ils ont ainsi observé que l'accroissement du travail entraînait une augmentation du bien-être psychologique jusqu'à un point au-delà duquel tout effort supplémentaire déclenchait une perte progressive d'adaptation. Notez bien le caractère progressif du processus. On ne sombre pas dans le surentraînement du jour au lendemain. Il s'agit de variations très subtiles du comportement. Pour les uns, cela se manifeste par une perte d'entrain. Pour les autres, par des sautes d'humeur incontrôlées, des insomnies ou des problèmes de concentration. Panne de neurones Pour les chercheurs, le défi suivant consistait évidemment à comprendre ce qui se passe dans l'intimité de nos cellules. En 1996, des scientifiques japonais ont contribué à une avancée décisive de nos connaissances sur le sujet avec une étude sur un groupe de 29 triathlètes qui avaient pris part à un triathlon sur les distances de l"Ironman": 3,8 km de natation, 180 à vélo et 42,195 à pied. Ce genre d'épreuve constitue un très bon modèle expérimental d'épuisement, dans le sens où tous les participants terminent complètement cramés! L'étude en question consistait à comparer les données des trois bilans biologiques (48 heures avant la course, à l'arrivée et le lendemain) et la sensation de fatigue subjective estimée grâce à un questionnaire psychologique d'évaluation de l'humeur (POMS). On a alors observé que les athlètes qui se sentaient le plus fatigués étaient également ceux chez qui la concentration des bêta-endorphines était la plus basse après l'effort et le taux de noradrénaline dans le plasma sanguin le plus déprimé. En d'autres termes, l'effort avait épuisé chez eux les filières de production des neurotransmetteurs. Fatigué, moi? Jamais! Les scientifiques ont aussi mis au jour un phénomène étonnant concernant la sérotonine, un autre neuromédiateur qui joue un rôle important dans les oscillations de l'humeur. Ils ont découvert qu'elle subissait elle aussi une chute de production. Mais les cellules nerveuses de la filière étaient capables de s'adapter en augmentant le nombre de récepteurs, de sorte que cette baisse ne se répercutait pas forcément sur le moral. Chose étonnante : ce mécanisme n'était pas aussi efficace chez tout le monde. Il faisait même clairement défaut chez certains sujets qui, de ce fait, se trouvent particulièrement vulnérables sur le plan mental. En clair, nous sommes inégaux face au sport. Et même face à la fatigue après le sport! Tout le sport francophone sur www.infosport.be 28/02/2006 Gilles Goetghebuer, journaliste santé |
Auteur: | Rik Rak [ Mercredi 01 Mars 2006 14:13 ] |
Sujet du message: | |
"On a alors observé que les athlètes qui se sentaient le plus fatigués étaient également ceux chez qui la concentration des bêta-endorphines était la plus basse après l'effort et le taux de noradrénaline dans le plasma sanguin le plus déprimé. En d'autres termes, l'effort avait épuisé chez eux les filières de production des neurotransmetteurs. " Donc plus on est fatigué, plus on se sent fatigué..... HYPER PUISSANT ! Non, je rigole, merci pour l'article, il est intéressant car il montre la relativité de la sensation de fatigue et de la gestion mentale des efforts de ouf que nous nous imposons... Au fait : la préparation mentale est-elle réservée au haut niveau ? Connaissez-vous des clubs "normaux" qui pratiquent la sophrologie (CE N'EST PAS SALE......), etc. |
Auteur: | Maya [ Mercredi 01 Mars 2006 14:16 ] |
Sujet du message: | |
moi il faudrait que j'en fasse de la sophro ....trop nerveuse et angoisée..... |
Auteur: | scarabée [ Mercredi 01 Mars 2006 15:03 ] |
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en la matière je peux certifiée en plus moi ça doit être le manque de sport qui me met le cerveau au court bouillon je peux leur servir de cobaye pour leurs expériences |
Auteur: | magicswimmer [ Mercredi 01 Mars 2006 15:18 ] |
Sujet du message: | |
On ne sombre pas dans le surentraînement du jour au lendemain. Il s'agit de variations très subtiles du comportement. Pour les uns, cela se manifeste par une perte d'entrain. Pour les autres, par des sautes d'humeur incontrôlées, des insomnies ou des problèmes de concentration. tiens j'en connais un ou deux qui devrait ralentir l'entrainement !!! |
Auteur: | VB [ Mercredi 01 Mars 2006 15:20 ] |
Sujet du message: | |
Pour moi c'est des sauts d'humeur incontrolés |
Auteur: | Maya [ Mercredi 01 Mars 2006 15:27 ] |
Sujet du message: | |
vélo balai a écrit: Pour moi c'est des sauts d'humeur incontrolés PAREIL!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
si tu veux on peut se pourir la gueule entre nous VB!!!! |
Auteur: | VB [ Mercredi 01 Mars 2006 15:30 ] |
Sujet du message: | |
Ouais ça m'évitera de pourrir ma famille |
Auteur: | scarabée [ Mercredi 01 Mars 2006 15:32 ] |
Sujet du message: | |
Malgré les progrès dans la compréhension du surentraînement, qui ressemble beaucoup au syndrome de fatigue chronique qui peut toucher des sédentaires, il est difficile de proposer des critères biologiques simples etfaibles pour son diagnostic positif. Le diagnostic du surentraînement reste actuellement clinique et peut être défini comme une baisse durable de performances inexpliquée par une diminution de l'entraînement, ni par une pathologie intercurrente. La difficulté peut être de distinguer un état passager de fatigue rapidement résolutif avec un réel syndrome de surentraînement |
Auteur: | magicswimmer [ Mercredi 01 Mars 2006 15:33 ] |
Sujet du message: | |
oooh les filles c'est drole mais je pensais pas du tout à vous !!! |
Auteur: | scarabée [ Mercredi 01 Mars 2006 15:33 ] |
Sujet du message: | |
Auteur: | VB [ Mercredi 01 Mars 2006 15:34 ] |
Sujet du message: | |
magicswimmer a écrit: oooh les filles c'est drole mais je pensais pas du tout à vous !!!
Pourquoi tu penses que l'on ne peut etre surentrainées nous |
Auteur: | Maya [ Mercredi 01 Mars 2006 15:34 ] |
Sujet du message: | |
magicswimmer a écrit: oooh les filles c'est drole mais je pensais pas du tout à vous !!!
ah toi tu pensais au surentrainement au mac do ça c'est sur tu ns bat!!!! |
Auteur: | scarabée [ Mercredi 01 Mars 2006 15:37 ] |
Sujet du message: | |
Le triathlète de haut niveau présente un V02max élevé, en général supérieur à 65-70 ml.kg-1.min-1. Mais il est possible de pratiquer le triathlon sur des courtes distances (CD) ou des "promo" (voir l'encadré) avec des valeurs d'endurance plus modestes. C'est là qu'il faudra être vigilant. En effet, plus la distance est courte, plus l'intensité est élevée. Le médecin du sport devra redouter plus encore l'accident cardiaque chez le sportif mal préparé que chez le triathlète adepte des longues distances (LD). Pour un sportif de plus de 35 ans, il semble souhaitable de conseiller un test d'effort cardiologique maximal afin de détecter une éventuelle ischémie myocardique, muette cliniquement au repos. Les fréquences cardiaques en fin de partie course à pied sont au maximum théorique, voire supérieures chez certains. La régularité de l'entraînement sera la règle avant de prendre part à la compétition. Il sera planifié au cours de la saison, d'avril à octobre en France, et guidera la préparation du sportif. Pour fixer les idées, on peut considérer que le "promo" est accessible avec trois entraînements hebdomadaires, en privilégiant les 3 disciplines les unes après les autres. Le CD sera accessible avec 4 ou 5 entraînements par semaine. Il importe alors de favoriser la natation par rapport à la course à pied. En effet, l'évolution dans l'eau permet d'éviter les chocs et la microtraumatologie qui en découle. En outre, elle permet de travailler la respiration, essentielle en triathlon. Plusieurs études récentes (Bouzou et Coll., 1987) montrent que la natation permet également de développer les qualités d'endurance et de puissance exportables dans les deux autres disciplines. Il faut ajouter à ces données que la combinaison de deux ou trois disciplines à l'entraînement permet une progression des performances en compétition comme l'a montré une étude récente réalisée à l'INSEP par D. Lehenaff, président de l'European Triathlon Union |
Auteur: | VB [ Mercredi 01 Mars 2006 15:37 ] |
Sujet du message: | |
Ah là elle t'as charcler maya |
Auteur: | scarabée [ Mercredi 01 Mars 2006 15:38 ] |
Sujet du message: | |
ALLEZ ON LIT MES PETITES RILLIETTES C EST SERIEUX |
Auteur: | scarabée [ Mercredi 01 Mars 2006 15:42 ] |
Sujet du message: | |
POUR VOS LONGUIES SOIREES EN REGARDANT LE NEIGE TOMBER http://www.mobile-sport.ch/upload/pdf/% ... auen_f.pdf |
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