Suite à la diffusion dans le domaine public d’informations erronées, il a été clarifié lors des réunions du Comité exécutif et du Conseil de fondation de l’AMA les 19 et 20 novembre que l’abandon de la procédure actuelle de contrôle du dopage, qui permet à un sportif dont l’échantillon A a révélé la présence d’une substance ou méthode interdite de demander l’analyse de son échantillon B, n’était pas à l’étude.
« L’échantillon B contribue à confirmer qu’une violation des règles antidopage a eu lieu et protège
les droits des sportifs», a commenté le directeur général de l’AMA, David Howman. « Il est important de préciser que la lutte contre le dopage dans le sport est l’un des rares secteurs de la société où une procédure de confirmation est utilisée pour les contrôles à des fins de protection, et les très rares cas dans lesquels l’analyse de l’échantillon B n’a pas correspondu aux résultats de l’échantillon A ont montré l’utilité d’une telle procédure. »
Complètement d’accord avec le maintient de l’échantillon B