A côté du Salon Ecolo-Ravenmanesque, qu'on entretiendra je l'espère, avec des nouvelles de notre Planète,

j'ouvre un second front : un salon sur des sujets citoyens, avec des coups de gueule, des révoltes du genre "Antisocial tu perds ton sang-froid !!! "

POUR COMMENCER, un article de L'HUMA : (carrément !)
qui rapproche le phénomène du dopage d'une situation plus générale :

Hébé, ça fait réfléchir..............


Universalité du dopage
Paru dans L’humanité 26 septembre 2007.


Le Tour de France, dont le vainqueur en 2006, Floyd Landis, vient d’être condamné et déclassé pour dopage, est un spectacle hybride mêlant tournoi, procession et film noir : duels entre gladiateurs du vélo, compétition secrète entre chimistes, concours entre les sponsors, interminable cortège de publicités, affaires de gangsters. Un théâtre tragi-comique, où, tandis que le bicycle s’est substitué au quadrupède, la seringue a remplacé l’épée. Leurs héros sont à peine des êtres humains mais, tout à la fois, des personnages de roman, des hommes-sandwichs, des cobayes de laboratoires, des justiciables. Dans ce cloaque assidûment télévisé, soudain, un scandale d’opérette a surgi, aussi fracassant que risible : on s’y doperait ! En réalité, la cécité si ancienne au dopage sportif masque l’assujettissement général des travailleurs aux produits compétitifs, et, plus largement, la soumission biotechnologique du vivant à l’exploitation maximale.

Dans le Tour cycliste de 2007, ceux qui ont décidé d’en finir avec le dopage – ou du moins avec sa trop grande évidence – ne sont ni l’État ni aucun de ses représentants, responsables politiques, médecins, juges, mais deux entreprises, une chaîne de télévision et un sponsor qui ont décidé de rompre avec leur propre complicité. Ce réveil est fort louable. Mais, depuis au moins dix ans, n’ont-ils pas fermé les yeux sur une délinquance utile à leurs affaires ? Loin de se soucier de la vérité et de la santé des coureurs, ceux qui ont agi ainsi visaient leur propre intérêt.

L’omerta qui règne dans le cyclisme est moins le signe d’un milieu maffieux que l’indice d’une règle capitalistique. Le coureur n’est qu’un support publicitaire qui peut être sacrifié sur l’autel de la rentabilité. L’exigence de crédibilité – supposée harmonieuse avec la déontologie sportive – n’est qu’une condition subjective de la confiance commerciale. La lutte contre la fraude est motivée par l’espérance de contacts clients nets : pureté des urines, limpidité des futurs contrats ; fréquence des contrôles, bonification de l’image.

Le discours constant du « Tour propre », et la chasse vertueuse à la triche dans les autres sports, sont des leurres destinés à rendre invisible l’universalité du dopage. Tout salarié est, aujourd’hui, sommé d’être compétitif, et est incité, pour cela, à se doper de diverses manières. Laboratoires pharmaceutiques, industries agroalimentaires, promoteurs de « méthodes corporelles », médecins, législateurs, idéologues de l’entreprise, tous fournissent, autorisent ou encouragent la consommation de produits dopants ; des antidépresseurs aux excitants multiples, légaux ou non, raisonnables ou non, les substances et les pratiques dopantes sont légion.

C’est parce que les travailleurs, à tous les niveaux, devinent une obscure communauté avec les coureurs dopés qu’ils semblent indifférents au dopage (cette cécité leur évite d’apercevoir la détresse de leur propre condition) ; et c’est parce qu’il faut que le travailleur (sans distinction de classe) soit dominé plus intimement qu’il est nécessaire de simuler, à grands cris, la condamnation du dopage. Plus les responsables désignés clament haut leur horreur du dopage, plus est martelé qu’il faut le rendre plus invisible encore.

L’overdose suicidaire d’un coureur et le suicide de salariés soumis à des cadences infernales, c’est-à-dire pour les deux à une exigence permanente de compétitivité, sont deux symptômes d’une même généralisation du travail compris comme guerre. La mondialisation est une guerre planétaire où le travailleur est un soldat qui doit se vouer corps et âme à son entreprise, s’il veut garder une raison sociale de vivre. Mais cela il faut le taire.

Les projecteurs médiatiques, c’est-à-dire la morale capitalistique (celle de la loyauté comme condition de la « bonne » concurrence), couvrent les coureurs dopés d’un opprobre utile : ainsi demeurent dans l’ombre non seulement les millions de dopés anonymes qui tiennent le coup grâce aux médicaments, mais aussi le fait plus général, et partant plus discret, que le végétal, l’animal et l’humain sont assujettis à la loi de l’accélération biotechnologique. Des engrais à l’érythropoïétine, en passant par les pesticides ou les psychotropes, la plante, la bête et l’homme sont soumis à un esclavage unique : l’accroissement indéfini de leur productivité pour un capitalisme infini.

La critique apparente du dopage prend place dans les multiples stratégies visant à étendre à tout ce qui est, matériaux, plantes, bêtes et hommes, l’unique impératif d’être compétitif. Le dopage et son discours sont un opérateur de domination au même titre que la manipulation génétique ou les biotechnologies de la procréation humaine : leurs effets réels sont niés dans le discours qui, conséquemment, les voile et les étend.

La vérité de la traque officielle du dopage dans le sport de compétition est l’universalité, trans-classiste, de la domination du dopage chez les travailleurs. C’est parce que le compétition est la loi du capitalisme que le sportif se dope : il est devenu un travailleur comme les autres ; son appartenance au pôle « communication » rend simplement nécessaire que le message qu’il véhicule soit le contraire de celui qui innerve l’ensemble des entreprises et de la société humaine elle-même. Loin d’être une exception marginale, le dopé est le modèle universel : d’où la nécessité de faire croire qu’il est une anomalie.

Enfin, bref, seule une belle guerre de religion et un net retour aux obscurantisme moyennageux peut sauver nos corps et nos âmes fatigués.


L'Iran y travaille justement sans relâche.

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Pire que le cailloux dans la chaussure est le grain de sable dans la capote

C'est pas faux ce qu'il dit. C'est du brut, du franc, du lourd, mais c'est pas faux. Et ça ne s'applique pas qu'au cycliseme, loin de là ! Je pense que le sport le plus médiatique reste le foot. Le foot et ses stades combles de supporters déchainés, le foot et ses produits dérivés, le foot et ses rentrées publicitaires à la mi temps, le foot et ses stars, bêtes de pub, héros nationaux.

Oui mais, le foot n'est pas le sport le plus éprouvant physiquement et ne demande pas une aptitude physique hors du commun, contrairement au cyclisme ou à d'autres disciplines comme le ski de fond, la natation, la course à pied, etc. Donc peut etre y a t il moins de drogue dans le foot. Ou peut être que ça n'est pas rendu public.

Mais je suis finalement d'accord avec l'auteur, et je n'ai même pas eu besoin de lire l'intégralité de l'article. Les notions de "rentabilité" et de "profit" ont pris le dessus sur tout, y compris sur le plaisir, sur l'humanisme, sur le courage, sur le respect. Tout est tributaire de l'argent, des investissements d'un tel qui exigera tel bénéfice en échange, ou telle concession.


Ce que je voulais dire aussi, c'est que les actionnaires d'EADS qui sont aujourd'hui accusés de délit d'initié pour avoir vendu des actions chères juste avant que les difficultés de l'entreprise ne soient rendues publiques et que le cours boursier ne s'effondre, méritent une peine exemplaire. C'est aussi valable pour ceux qui seraient impliqués dans le ministère, je pense notamment à Thierry Breton qui n'est pas net dans cette histoire.

Voilà !

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Rom

L'ONU ne condamnera pas la répression en Birmanie, la Chine s'y est opposée. Le Conseil de sécurité se contentera de "regretter fortement" la situation là-bas...

De son côté, Bush a refusé de reconnaître le génocide arménien, pour ne pas froisser son allié turc...

Aujourd'hui, c'était la Journée mondiale du tact...

à oué c'est parce que les 5 pays ont un droit de véto et suffit que y en ai un qui soit pas d'accord pour que la question soit reglée ?
c'est ça?

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Rillette un jour, Rillette toujours!!!

Exact ! Trop fort Arthuro !

ouai enfin du coup leur système doit tourner en rond

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Rillette un jour, Rillette toujours!!!

ET SACHANT QUE CES 5 PAYS SONT DES MEMBRES PERMANENTS DEPUIS LA CREATION DE L' ONU BA çA VA PAS !! (ma culture vous épate )

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tu vas cartonner en Géopolitique !!

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Ahhh merdouille !! encore un blog à la con: www.bilbo-wheel.over-blog.com

allez ça suffit, ferme ce bouquin que t'as sur les genoux

bon ok c'est mon programme d'histoire de la veille

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vraiment génial notre site quand même !! support de révision pour notre p'tit Arthuro
pour les maths et la physique, je recherche dans mes cours et te posent des équations sur un autre post !!

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pas besoins chui un cador

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Non tu exagères Eric !

Commencer un sujet en citant l'Huma, c'est comme commencer un Ironman par une natation en 40 minutes...

Tu continueras avec quoi après si tu as besoin d'autres arguments ? hmm ?

Enfin je dis ça mais tu as sans doute prévu le coup...
Allez, avoue le !

Avoue que tu vas nous asséner un grand coup derrière les oreilles avec un papier...
oui mais un papier de JPP...

Alors passe encore pour cet article de l'Huma... Mais quand tu dis que c'est un article de l'Huma "qui fait réfléchir"... là je crois que tu pousses le bouchon rouge un peu trop loin.

Allez je rigole !
Evidemment qu'il fait réfléchir cet article de l'Huma puisqu'à présent il n'y a plus que des intellos au PCF ; ce qui, en passant, rend totalement absurde le vieil adage :
"si t'es pas communiste à 20 ans c'est que tu n'as pas de coeur, si tu l'es encore à 50 c'est que tu n'as pas de cerveau".

Bien, donc le dopage serait une conséquence du capitalisme ? hum hum...
Ce qui veut dire, si on réfléchit bien, que ce fléau serait inconnu dans les contrées éminemment socialistes ? Enfin plutôt "était inconnu"...

Finalement c'était peut être vrai : personne n'était dopé en URSS (CCCP pour les puristes), pas le moindre haltérophile ; jamais vu de camés en RDA (DDR pour les intimes), pas le moindre nageuse... Et puis la belle Nadia Commanecci de Roumanie (Ceucescu pour les nostalgiques), n'était pas à la solde des capitalistes qui imposent des cadences infernales ! nooon, Nadia elle s'entraînait quand elle voulait, le temps qu'elle voulait. Les études d'abord, le sport ensuite.

J'ai bien réfléchi ?

Bien vu. Mais si le capitalisme a ses exigences de rentabilités, les dictatures staliniennes avaient leurs exigences en terme de propagande et d'image de l'état.

D'un point de vue national, il fallait que le peuple vive dans l'illusion d'une nation parfaite qui forme de grands champions, ce qui d'une certaine manière signifiait "vous ne travaillez pas pour rien". A l'echelle planétaire, il fallait à tout prix se montrer au moins compétitif avec les ennemis capitalistes voire même supérieur, histoire de créer l'illusion que ces pays étaient capables de former de grands champions, ce qui devait quelque part dire que la misère n'existait pas derrière le rideau de fer, en tout cas pour une élite.

Par ailleurs, je ne pense pas que prendre en exemple de si désastreux exemples d'utopies ratées soit une bonne chose, parce qu'on est encore très loin d'un monde idéal, sportivement comme socio-économiquo-politiquement. Je me trompe ?

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Rom

BONJOUR L'ANGOISSE !
Les résultats d'une étude montrent un phénomène paradoxal : les Français ne sont pas les plus mal lotis en Europe, mais les plus angoissés, à propos de tout : l'avenir, la pauvreté, l'insécurité, l'Etat... D'un autre côté (cause ou effet ?) nous sommes un des pays qui stagnent le plus en Europe, au plan économique et social...

Après le French Flair en rugby, le French Paradox en diététique, le French Kiss... voici donc le French Blues...


Les Français sont inquiets, mais pas si mal lotisLE MONDE | 27.10.07 | 14h11


Le Français est inquiet. Il est beaucoup plus anxieux que ses voisins européens sur l'avenir de ses enfants, redoutant de devenir pauvre, sans abri ou de perdre son emploi, méfiant sur la justice et la police, sur la mondialisation ou encore les syndicats et le Parlement, se suicidant même davantage. Et ce dans un pays plutôt moins pauvre et moins inégalitaire que la moyenne européenne.

Ce portrait-robot, paradoxal, du Français dans l'Europe est dressé par le Centre d'analyse stratégique (CAS) dans le document "Les réalités sociales françaises à l'aune européenne", une compilation d'indicateurs européens (Eurostat, OCDE), et doit être présenté, lundi 29 octobre, à l'occasion d'un séminaire sur la réalité sociale française.

"Les Français sont ceux qui craignent le plus, qui se plaignent le plus, alors que le pays ne se porte pas mal", s'étonne Julien Damon, responsable du département des questions sociales au CAS. "La France va bien, dit-il encore, mieux que ce que certains "déclinologues" veulent laisser croire, qui parlent de dépôt de bilan, mais quand bien même il y aurait déclin, les Français seraient plus anxieux que leurs voisins."

Pour Martin Hirsch, haut-commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, "la France, si elle est mieux classée que certains pays en termes de pauvreté, est dans un processus de dégradation lente, alors que beaucoup de pays voient leur situation s'améliorer". Les Français sont les plus inquiets des risques de déclassement social, et sont 86 % à penser qu'"il peut arriver à n'importe qui de tomber dans la pauvreté au cours de sa vie", contre 62 % en moyenne dans l'Europe à 25. Ils sont 13 % à penser qu'ils pourraient "devenir un jour des sans-abri", juste derrière les Lettons et les Lituaniens. Un score détonant comparé à ceux des Danois et des Néerlandais (1 %), des Allemands (2 %) ou des Britanniques (8 %).

"On n'est pourtant pas les plus pauvres", explique M. Damon. La France est dans la moyenne concernant les inégalités et affiche de bons résultats en termes de pauvreté. Ce résultat doit "beaucoup à son système de transferts sociaux, qui lui permet de diviser par deux le taux de pauvreté", lequel passe de 26 % à 13 %, analyse le CAS. En Pologne, en Irlande ou au Royaume-Uni, le taux de pauvreté initial, de l'ordre de 30 %, n'est ramené qu'à environ 20 % après les transferts sociaux. Ce système passe par des dépenses sociales de 4 points supérieures à la moyenne européenne (31,2 % du PIB, contre 27,3 %).

Anxieux, les Français sont aussi nettement plus défiants vis-à-vis des institutions (Parlement, syndicats) et font moins confiance à leur police (63 % contre 68 %) et à leur justice (42 % contre 50 %).

Et les Français "craignent davantage pour leur propriété", alors que le nombre de policiers par habitants est supérieur (393 pour 100 000 habitants contre 314 en Europe).

Comment expliquer ce côté anxiogène des Français, plus pessimistes aussi que la moyenne européenne pour l'avenir de leurs enfants - 76 % pensent que leur vie sera "plus difficile" que la leur contre 64 % pour les Européens ? Pour Julien Damon, "la France est le pays qui parle le plus de pauvreté". "Depuis 1984, explique-t-il, c'est devenu un rendez-vous annuel obligatoire pour tous les politiques, au début de l'hiver, on rappelle l'exclusion et la pauvreté qui augmentent, alors que c'est faux."

La pauvreté a changé d'aspect ; devenue plus urbaine, elle s'est concentrée et est donc plus visible. Enfin, elle touche plus de jeunes. "Le premier des minima sociaux, rappelle M. Damon, était le minimum vieillesse jusqu'au milieu des années 1990. C'est aujourd'hui le RMI."

D'autres éléments plus objectifs expliquent aussi l'inquiétude française. En tout premier lieu, la persistance d'un chômage de masse qui place la France en queue de peloton de la classe Europe. Longtemps autour de 10 %, aujourd'hui encore supérieur à 8 %, le chômage affecte toutes les couches sociales. Et les jeunes et les seniors sont les premiers pénalisés quant à leur place sur le marché du travail.

"Les protections sociales traditionnelles marchent moins bien, et la gloriole sur le modèle social français qui répondrait à tout, ramenée à la réalité, crée de l'angoisse", explique encore M. Hirsch. Le modèle social de 1945 était fondé "sur le plein-emploi, et une cellule familiale où monsieur travaille et madame reste à la maison pour s'occuper des enfants", analyse M. Damon.

De fait, la répartition dans les dépenses de prestations sociales selon les risques ne laisse que 1,6 % des dépenses pour la pauvreté et l'exclusion, contre 43,5 % pour la vieillesse ou 29,2 % pour la maladie. De quoi renforcer l'angoisse des Français quand, ainsi que le décrit M. Hirsch, "les mécanismes de pauvreté touchent dorénavant le coeur de la société et que ce qui était inconcevable, chômage, exclusion, est devenu concevable par tout le monde".

Rémi Barroux

Mouaip , avant de balancer tout cela, chacun peut déjà faire son autocritique et faire son maximum pour apporter à autrui et quand on apporte à autrui, on le bonifie et on se bonifie
pas la peine de philosopher des heures, déblatérer, il faut être parfois plus terre à terre, proche de l'autre, l'écouter, échanger, savoir reconnaître ses erreurs, être solidaire, respectueux, cela vaut tous les sondages !!
il faut se confronter à la réalité du terrain et arrêter les discours de forum et de salons entre beaux penseurs !!
il faut agir et non parler ou écrire en permanence

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Une chanson qui m'a touché il y a quelques semaines, et dont je viens de voir la vidéo (pas mal non plus) : je ne sais pas si elle "déblatère" ou si elle "philosophe", mais ses paroles sont très fortes !

http://www.dailymotion.com/video/x2ccmo ... omme_music

T'as raison, Bilbo, ce soir, je rajoute un verrou à ma porte

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Pire que le cailloux dans la chaussure est le grain de sable dans la capote

euh, t'habite où pour procéder à ce genre d'isolement ??
moi, chui encore un peu trop confiant en ville !!
hier soir, Gautier sonne vers 21h15 à l'interphone et dis: "Mr Bonsacquet, j'ai un pli pour vous"
Moi, même pas je me dis: " à cette heure là ??"
non, j'ouvre la porte du bas, et j'étais au téléphone avec Jc.
Il me dit: "fais gaffe, ce peut être dangereux !! tu sais pas qui c'est à cette heure là!!"
Moi: "vache, il a raison !!"
il me dit: "laisse le téléphone allumé à côté, au cas où !!"
Moi: "Ok, je prends en même temps le plus gros couteau de cuisine affuté comme une lame pure !! (donc, l'inverse de moi quoi )
et confiant, ça frappe, j'(ouvre et c'est Gautier !!

cela aurait pû tout aussi bien être UNE SOURIS ENRAGEE !!

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J'habite dans un petit village où le dernier contact qu'on ait eu avec la grande délinquance remonte au journal de 20h d'hier ...
C'est HORRIIIIBLE, toute cette violence pendant qu'on mange !

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Pire que le cailloux dans la chaussure est le grain de sable dans la capote

comme disait Coluche: "arrêtez de nous passer des images de gamin squi meurent de faim pendant les repas !!merde !!!!!!!!!"

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