Running Duck a écrit:
ck"]
Pepe a écrit:
comme dirait Marc : on est des vieux c***
Moi ce que je regrette, c'est le côté intimiste d'il y a 10 ou 15 ans.
Tu courais souvent seul et, crois-moi, quand tu choppais un gars dans la nuit, tu l'aimais le gars  

 !
Le ravito dans la salle des fêtes de Ste Catherine ou l'arrivée à la Patinoire Charlemagne, c'était aut'chose moi j'dis  

 !
Mais en 2004 
Duck, c'était encore comme ça  

  Tu mettais un zest de brouillard sur tout ça  et tu l'avais ton grand moment de solitude.
Là, c'est "you'll never run alone".
Un truc qui m'a étonné aussi : plusieurs bénévoles marquant les intersections ne portaient pas de chasuble  

  C'est jamais simple à trouver cette denrée, faudrait voir à pas se la faire abimer  
 
 
Pour rebondir sur ce qu'écrivait 
Jool's, fallait voir la tête du pauvre gars à l'arrivée qui se présente pour une bonne bière : le "serveur" lui demande son gobelet Région  
 
   
 
Autant tu peux adhérer à la démarche sur les ravitos afin d'éviter le gachis vu le nombre de coureurs, autant à l'arrivée, c'est se moquer du monde  
 
 
Comme quoi c'est possible de courir toute la nuit et de craquer à 3m du bol de sangria  
 
 
Pour les sacs, on a carrément une grosse régression : il y a quelques année, c'était dans une grande salle de sport dédiée contingente, avec un accès réservé aux organisateur. L'année dernière c'était dans une petite salle en libre accès. Cette année, comme si on n'était pas assez nombreux, c'était à l'arrivée, derrière le buffet, en libre accès  
 
 
Le gars qui voulait retrouver ses potes et qui arrivait à s'extraire du sas d'arrivée ne pouvait plus accéder au machon ensuite (trop de monde dixit les organisateurs) comme l'a mentionné Jool's précédemment  
 
 
Fini le temps où t'allais prendre ta douche puis tu te restaurais ...
Tiens au fait, en 2004, l'inscription c'était 
27 euros après le 1er novembre (
60 aujourd'hui) et 
31 sur place.
Moralité : 
tu doubles le nombre de coureurs donc tu doubles le prix et tu divises par 2 les prestations. C'est pas con ça, il suffisait d'y penser  
 
 
M.