Voici mon Cr du fameux triathlon de l'alpe d’huez. Commençons par le début. Je n'ai pas pu faire mon Cr avant, car après le triathlon, le soir même, j’étais de mariage où j'ai bu et manger pendant tout le week-end. Nous sommes dimanche soir et j'attaque mon Cr, lundi il sera en ligne. Désolé. Mais avant, changement de technique, je préfère des le début de mon CR à remercier tous les bénévoles, tous les organisateurs, est l'organisateur principale, ainsi que les arbitres, pour avoir réalisé avec nous ce prodigieux triathlon qui pour moi, qui n'en fait depuis que peu de temps, a été le plus dure dans tous les sens du terme, que ce soit psychologique ou physique.
On se serait cru vraiment dans une étape du tour de France avec bien sûr beaucoup moins de monde, mais toujours des gens pour vous arroser, pour vous mettre de l'eau sur la tête, ce qui était vraiment vraiment le bienvenu. Heureusement que vous étiez là car, c'est grâce à vous que j'ai réussi à le faire, car j'ai manqué d'eau plus d'une fois et grâce aux gens sur le bord de la route, ils ont sauvé mon triathlon de l'alpe d’huez ce jour là, merci à vous si un jour vous me lisez.
Merci aux rillettes, merci, j'ai passé un très bon moment de triathlon avec vous, est grâce à ce tri, j'ai remarqué mes points faibles.
Vous allez me dire, point faible, oui, je sais, j'en ai beaucoup encore dans le triathlon, mais je commence en natation à être à 2 ou 5 minutes en retard sur d'autres, donc encore un peu de travail s’impose. À la course à pied, je commence à me défendre un peu, mais il faut encore augmenter ma vitesse. Le gros point noir, c’est le vélo, je pêche beaucoup beaucoup en vélo donc, mes prochaines sorties seront exclusivement vélo vélo vélo vélo.
Mes objectifs pour ce triathlon étaient simples: Premièrement : le finir, ce qui ai pour moi le plus important, le reste serait que du bonus malheureusement le bonus je ne l'ai pas eu.
Deuxièmement : si possible de ne pas finir dernier des rillettes, bon ben ça, c’est raté.
troisièmement : faire un sub moins de 4 heure, ça, c'est bon, mais je n'osais tellement pas y penser comme quoi des fois l'envie est plus forte que tout, effectivement j'avais une telle envie de le finir que quelques fois je me sentais pousser des ailes pendant la course à pied. Quatrièmement : essayer de battre Caps mais ça c’est raté aussi, elle était forte la bougre bravo caps. Voilà, je vais commencer donc mon CR du triathlon de l'alpe d’huez.
Difficile réveil, très peu dormi car beaucoup de stress pour ce fameux triathlon. Donc, encore endormi prends rapidement un café une brioche et pour me donner des forces, des pates. Je remarque je suis un peu en retard alors j'ai décidé de ne pas finir mes pâtes est de les finir sur place à l'alpe d'huez donc c'est parti pour l'alpe d’huez comme d'habitude, je réussi à me tromper de route, grrrrr…… Mais rapidement je me remets dans le droit chemin et je me retrouve enfin devant la montée de l'alpe d’huez pour l'instant c’est en voiture que je monte les 21 virages, donc pas de souci pour la montée, je la monte très rapidement hihihi c’est quand même plus facile en voiture et au fur et à mesure des virages, je suis pris d'une grosse grosse angoisse et je m'imagine à ce moment sur mon vélo en train de grimper. Les pourcentages sont impressionnants est la longueur des montées, j’en prends plein la tronche. Je me demande comment je vais faire pour pouvoir aller jusqu'au bout de ces 21 virages. Le stress me monte de plus en plus et tout ca n'est pas fait pour me rassurer. Pas mal d'erreurs du départ : La première erreur été de partir trop tard. La deuxième erreur et de m'être trompé dans le trajet. La suite des événements va prouver que je n'étais pas vraiment dans un jour de non stress mais tout le contraire. En arrivant sur place, en haut de l'alpe d’huez, je rencontre des rillettes, petite discussion rapide, mais je les vois déjà plein d'entrain est plein d'énergie, ils sont fin prêt à en découdre alors que moi je n'avais toujours pas sorti mon vélo de la voiture.
Merde, il faut aussi que j'aille chercher mon dossard donc direction le dossard et c'est ok. Dossard en poche, on peu plus reculer maintenant.
En partant, je rencontre un autre groupe des rillettes mais eues par contre encore plus près que l'autre groupe de rillettes. Vélo, chaussure prête pour la T2, pas comme moi, juste à descendre en direction lac. Nom de dieu, ils sont tous affûter ses petites rillette cela va être très dur dur. Bon je vais chercher mon vélo et m’empresse de me changer de manger le reste de mes pates. Toutes les rillettes sont descendues vers le lac. Moi je fini ma préparation et je suis encore une fois en retard. Allez, allez, vite, vite, je me demande par ou je dois descendre et un organisateur me dis de passer par là, alors je passe par là et je suis rassuré car je suis un gars avec le sac en cadeau que nous avons reçu, donc dans ma tête, je me dis que je suis dans la bonne voix et au fur et à mesure je descend tous les virages de l’alpe d’huez et je me dis que normalement c’était pas cette route qu’il fallait prendre alors pour ne pas me perdre je décide de continuer à suivre le gars e question. Même à un moment donné, j’ai demandé au gars, s’il savait ou on devait aller. Et il me répond « bin non » «putain je suis dans la merde » mais ouf, 2 gars arrivent et eux connaissent bien la route. Arrivé dans le parc vélo mon compteur marque 30 km je viens de faire le parcours vélo dans le sens contraire GGGggrrr….. Les rillettes se marrent…
Natation Mon premier pied dans l'eau, j'ai compris à quoi nous allions avoir à faire.14 à 15 degré maximum je pense. Pourtant eau annoncer à 17 j'y crois pas une seconde. Pratiquement toute les rillettes stationnement dans l'eau à attendre le départ, c'est plutôt sympathique car on profite 2 l’occasion pour discuter un peu de tout et de rien mais surtout de rien. Quelques rillettes on décider d'aller à l’avant, bon courage. Il ya beaucoup beaucoup beaucoup de monde au départ avec 950 personnes annoncé. Gros bordel au départ en perspective, ça sent le roussi ça va être un départ difficile, je n’aime pas trop. Il ya du monde partout sur les rochers, dans l'eau, sur la berge, partout partout, tout d'un coup je vois le monde se lancer à la nage cela veut dire que le départ a lieu et je ne m'en suis pas rendu compte, donc, je fais comme tout le monde, je me lance à mon tour, dans la lessiveuse batteuse. Et quand je dis, lessiveuse batteuse, je ne retiens pas mes mots, car, effectivement c le départ d'un triathlon qui m'a coûté le plus de difficulté pendant au moins 300 voir 400 mètre avec de sacrés coups dans la tronche, sur le corps, dans le nez, sur la tête, enfin j’en ai pris plein la gueule. Eau froid, des coups, des vagues, du vent, natation assez difficile, je trouve. A certain moment j'avais l'impression de faire du sur place de forcer comme un malade et de ne pas avancer. À partir de 500 mètre, j'ai enfin pu prendre un rythme correcte mais avec tous les coups et tout ce monde autour de moi je n'ai pas réussi à faire une bonne nage régulière j'ai fais 50% de brasse et 50% de crawl dommage ça m'a fait perdre beaucoup beaucoup de temps et d'énergie. Aussi, désolé, pour la monter sur une demoiselle, je lui ai littéralement monté dessus, enfin nager dessus. Désolé mademoiselle, mais bon on ne s'arrête pas d'un coup comme ça pour rien juste devant moi. Bon si vous me lisait, pardonnez moi. Donc, je continue ma course et tranquillement je fini la natation avec une petite glissade en sortie ce n’était pas grave, mais c'était rigolo. A ma montre rien d'inscrit, pas de temps car dans la bousculade on a dû appuyer sur les boutons de ma montre, donc aucun résultat, mais j'entends le présentateur dire que nous sortons à moins de 30 minutes. Moins de 30 minutes pour 1300 bof... Pour la nage, dans l'ensemble, je suis moyennement satisfait, peut faire mieux Transition
Alors la transition avec tous les coups reçus avec l'eau froide avec le vent et vague reçu en plein visage je ne savais plus trop où j'étais. j'étais un peu engourdi de partout et je commence à me diriger vers mon vélo, quand, soudain, et c'est bien la première fois que ça m'arrive, je viens de réaliser que je n'avais pas repéré mon emplacement vélo, car comme je suis arrivé en retard, je n'ai pas regardé ou je posait mon vélo, franchement, faut vraiment être con. J’ai préféré avec les rillettes que de regarder mon emplacement Jai tournais, tournais, tournais dans le parc à vélo pendant 2 bonnes minutes, c'est très long, et je commençais même à m’énerver. Je n'ai même pas pensez à regarder le numéro que j'avais sur moi.
Bon, vous voyez comme j'étais stressée angoissée à l'idée de montée l'alpe d'huéz. Et c’est GG qui m'a sauvé, car je l'ai vu et je lui ai même demandé ou été mon vélo, c’est grave de chez grave docteur Vélo C'est maintenant qu'on attaquer les choses sérieuses. Ça commence déjà par monter avec un bon 3 ou 400 mètre, pour bien s'échauffer. Effectivement, comme tout le monde l'a dit, les 15 premiers kilomètres son simple donc, rien à dire sur c 15 premiers kilomètres, a part peut être qu'il avait beaucoup de vent, que j'ai réussi à suivre proprement me camarade de course su moment pour enfin atteindre le début de la montée de l'alpe d’huez. Jusqu'au premier virage nommé le 21e virage c le commencement d'une montée qui va me faire horriblement mal de partout, vraiment de partout. Bon, c'est vrai que les premiers 400 mètres, j'ai réussi à monter correctement et à une allure assez régulière, mais très très vite, je pense que c'est vers le 2ème ou 3ème virage, j'ai commencé à ressentir des douleurs aux genoux et au mollet, enfin des douleurs partout dans les jambes et j'ai été obligé de ralentir et de me mettre à rythme entre 4 km/h et 8 km/h heure c'était mon maximum à partir du troisième virage et quand je me sentais vraiment pas bien, je faisais du 4 ou 5 km/h heure, je n'ai pas pu aller plus vite malheureusement. Dès que j'accéléré, je n'avais plus de souffle, j'ai beaucoup manqué d'eau, heureusement que les spectateurs nous arroser de leurs bouteilles, heureusement qu’il nous encouragé, c'était vraiment super de leur part, mais qu'est ce que c'était dur de chez dur. Entre le premier virage et le 3 ou 4 eme, je ne m'en rappelle plus trop, j'avais capucine dans mes rétroviseur, enfin dans le rétroviseur, je veux dire devant moi, elle 200 m devant moi. il ne m'a jamais été possible de la rattraper et pourtant c'était un de mes objectifs, mais c'était vraiment vraiment trop dur pour moi, j'en n'ai vraiment vraiment bavé, j'ai vraiment vraiment souffert et grâce à cette montée, je sais que j’ai beaucoup de boulot à faire en vélo. Natation et course à pied encore du travail. Maintenant, beaucoup de vélo beaucoup plus de km, que je vais faire, en gros, il faut que je mange du kilomètre Tout le long de la montée, j'en n'ai vu qui s'arrêter, respirer fort, qui prenait de l'eau sur les cascades qui couler le long de la route, qui marchait à côté de leur vélo, et moi je n'ai qu'une seule envie, c'est de réussir a aller jusqu'au bout sans m'arrêter, quitte à faire du surplace, mais il n'était pas question que je m'arrête, il était pas question que je lâche et pourtant j'ai voulu abandonné au moins une dizaine de fois, tellement que je n'en pouvais plus, mais je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, mais je voulais vraiment le réussir vraiment vraiment vraiment le réussir J’ai compté les virages. pratiquement toutes en haut, des bourrasques de vent, j'ai cru que le vent n'allez jamais s'arrêter alors déjà que je n'arrive pas à avancer si en plus de ça le vent s’en mêle, enfin de compte au dernier virage le vent à stoppé, et comme je sentais que c'était bientôt la fin de la montée et comme par miracle, j'ai eu un regain d'énergie, mon coup de pédale été plus agressif, plus violent, et j'ai enfin réussi à monter l'alpe d’huez. Je suis extrêmement fière de moi, je suis très content d'avoir réussi, vraiment, vraiment, même si j'ai mis beaucoup de temps met ma fierté et grande pour moi. Transition Je pose le vélo et je prends vraiment le temps de respirer, je prends vraiment le temps de mettre mes chaussures, je prends vraiment le temps de boire et quand je me sens bien, enfin bien… quand je me sens mieux, je pars pour la course à pied. En gros, transition moyenne, mais il me fallait au moins ça pour me remettre de toutes c émotions que j'ai vécu en vélo.
Cap
Je commence ma course à pied doucement, à un rythme très très léger pour ne pas avoir de crampes de suite et au fur et à mesure, je suis assez surpris de me sentir plutôt très bien, je ne ressens pas la fatigue, donc, j'en profite pour accélérer un peu mon rythme et là je dépasse un peu près une trentaine de concurrents qui sont a bout de souffle. je me suis dit, « il est hors de question que je marche » et effectivement, je n'ai pas marché une seule fois et grâce à ça, j'ai réussi à en doubler pas mal. J’avais qu'une peur, c'est les crampes. Au 5ème km, j'ai commencé à sentir mes mollets très très très dur, j'avais vraiment vraiment peur d'en avoir une avant l’arrivée, mais la chance est avec moi, car, j'ai vraiment fait une très bonne course à pied et ça m'étonne encore. je fini la course à pied quand même très très fatiguée et quand j'arrive à la ligne d'arrivée, je me mets à genou et j’embrasse la ligne d'arrivée en me disant, « j'ai réussi » et un de mes objectifs a été atteint. Je voulais faire moins de 4 heures, j'ai fait 3 heure 53, je suis vraiment super ravi de chez ravi.
Bravo à toutes les rillettes, bravo à tous les concurrents, bien sûr, bravo au gagnant avec un temps canon. Et encore une fois, je me lance des fleurs, mais ce n'est pas tous les jours que je mens lance, bravo à toi, polymps. Donc, je vous donne rendez vous au triathlon du mont blanc le 26/8 et j'espère rencontrer quelques rillettes en vélo avant les monts blanc. Ma préoccupation jusqu'au 26/8, c’est de faire de plus en plus et le plus souvent possible du vélo, pour m’améliorer. Bon, j’aurais pu en rajouté sur mon CR mais c’est déjà pas mal. Plus de triathlon jusqu’au 26/8 c’est long merde.
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