L'Allemand Erik Zabel, qui a récemment avoué s'être dopé au cours du Tour de France 1996, va continuer à courir pour Milram, au moins jusqu'à la fin de la saison.



«La décision n'était pas facile pour nous», a souligné Milram dans un communiqué, affirmant prendre «très au sérieux le code d'éthique des équipes Pro Tour».

L'équipe relève toutefois que l'unique prise d'EPO admise par Zabel remonte à 11 ans, soit au-delà du délai imparti pour la prise de sanctions. De plus, fait-elle encore valoir, l'Union cycliste internationale (UCI) souhaite le voir poursuivre sa carrière.

«La franchise de Zabel doit être un modèle pour le peloton», a estimé le manager de Milram, Gerry van Gerwen.

"je suis vraiment pas d'accord c'est inadmissible et on dit prendre au sérieux le code éthique.facile la durée des sanctions est de 8 ans et les gars ils viennent gentillement nous dirent oui je me suis dopé mais y a bien longtemps donc sa compte pas et l'UCI qui approuve!!!!!
p'tin mais c'est quoi cette image du sport,je suis écoeuré

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QUE CELUI QUI N'A PAS TRAVERSE NE SE MOQUE PAS DE CELUI QUI S'EST NOYE.

Fastoche quand il y a prescription
du grand foutage de gueule !!
ché pas comment il va être vu au sein du peloton maintenant ?

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Ahhh merdouille !! encore un blog à la con: www.bilbo-wheel.over-blog.com

C'est comme demander comment un politicien éclaboussé par un scandale va être vu parmi ses collègues... La moitié en a croqué, ils comprennent très bien, les autres n'osent pas ouvrir leur gueule - pour ne pas finir comme Christophe Basson ou d'autres...


Au fait, est-ce qu'il y a une différence entre le dopage administré aux "gros culs" (sprinters) et celui des grimpeurs ?

c'est vrai, t'as raison, j'aurais du penser à cette omerta qui plane

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Une semaine après avoir reconnu s'être dopé en 1996, l'Allemand Erik Zabel refait parler de lui sur le terrain sportif. Le coureur de l'équipe Milram, conservé malgré ses aveux, a remporté au sprint la 2e étape du Tour de Bavière, disputée jeudi.

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encore une situation à double tranchant :
comment faire avancer les choses si d'anciens athletes qui reconnaissent avoir utilises des produits ,sont aujourd'hui montres du doigt alors que d'autres continuent librement à le faire

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"tout a une fin sauf la banane qui en a deux"