Rue des Blaireaux - mars 1997

Vous voudrez bien excuser par avance le niveau particulièrement navrant des lignes suivantes écrites, une fois de plus, suites aux pressions incessantes du Rédacteur en Chef. Celui-ci n'hésite pas, en effet, à faire porter sur la Présidence (hon ! Tout l'été. Les pieds nus sur le sable) la responsabilité des retards dans la sortie de TRI-CLAIR. Résultat : une Rue des Blaireaux bien courte qui épargnera (pour cette fois) le candidat au kit-été gratuit, l'amateur de coloriages, le kiné à quelques secondes du record, l'ami de Pedro l'âne, le boucher caladois, le secrétaire de Fontaines-les-Bains... Qu'à cela ne tienne, ils se reconnaîtront de toute façon. Revenons simplement sur un TRI-CLAIR antérieur :

Celui dans lequel, John-Mikael Faure intimait un certain nombre de consignes typographiques au différents intervenants rédactionnels de TRI-CLAIR. Les consignes étaient sans appel : chacun devrait utiliser une police bien précise, des tailles de caractères déterminés, des marges et des espacements normalisés. C'est ainsi que revenait au club cette fâcheuse tendance militaro-dictatoriale qu'on croyait oubliée depuis la fin des années-Graftiaux !!!
Heureusement, la "Rue des Blaireaux" a choisi de ne pas se plier à ces injonctions intolérables et, au risque de devenir illisible, entre en résistance dés ce paragraphe. En outre, nous avons également décidé d'adresser ce message solennel à Juan-Miguel : 

Ceci a le mérite d'être franc, direct et sera aisément lu en utilisant votre scanner personnel.

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