Rue des Blaireaux - Tri-Clair 31 - novembre 1996 |
LE DOSSIER FRAFMAUPHITEUX Nous connaissons tous la personnalité ambivalente de l'ex-Président Gilles Graftiaux. Chacun se souvient, en effet, des propos qu'il tenait lors de la Campagne Electorale 1993 pour la Présidence du club : "... je m'engage à mettre en oeuvre, si vous m'accordez votre confiance, les grandes réformes trop longtemps différées et ceci dans le cadre d'une profonde restructuration fruit d'une politique ambitieuse, où pusillanimité et palinodie n'auront aucune place...etc..etc...". Quelques mois plus tard, au printemps 1994, alors que l'Organisation des 24 HEURES était aux abois faute de concurrents, Gilles jetait le masque et son discours devenait plus fleuri avec, souvenez-vous, cette pensée : "...mais bordel de m....., j'vais quand même pas aller à Perrache chercher des S.D.F. par les c....... pour participer aux 24 Heures... Faut ptêtre arrêter d'se poignarder le c.. avec une aubergine !!!". Ce comportement consternant, qui provoqua d'ailleurs moult esclandres et autres lettres ouvertes, n'était en fait qu'une partie de la médaille émergée du revers de l'iceberg (et inversement). Une enquête du F.B.I. (Fédération Blairique d'Investigations) révèle aujourd'hui que l'identité même de Gilles Graftiaux reste sujette à caution. Le grand public connaissait déjà son affection particulière pour les mammifères (précédé de laisse lorsqu'on est gentil avec sa grand-mère) marins et son pseudonyme "Cachalot". Les documents exclusifs que nous reproduisons ci-dessous révèlent aujourd'hui que l'individu multiplie les noms d'emprunt et vit, en fait, sous plusieurs identités différentes. Ainsi, en avril 1996, lors d'un règlement par chèque sur le C.C.P. du club, les services financiers de La Poste enregistrent Gilles sous le nom de Fraftiaux. En octobre 1996 l'organisation du Marathon de Lyon, édite un listing qui prouve que l'individu ne s'appelle pas Fraftiaux mais Grafmaux (2593). Enfin, les Logiciels de Recherche d'Identité les plus performants ne trouvent pas "Graftiaux" (et encore moins Fraftiaux ou Grafmaux) dans leur dictionnaire et imposent le nom "Graphiteux" comme en témoigne cette boite de dialogue : Une équipe de spécialistes est d'ores et déjà en haute
mer pour tenter de décrypter les ultrasons émis par divers cétacés
odontocètes licenciés FFTRI. Mais la piste policière est aujourd'hui est
préférée à cette option scientifique. Orthograve Nos fidèles lecteurs s'accordent à dire que TRI-CLAIR n'est
pas une coquille vide mais plutôt du vide plein de coquilles. En effet,
au-delà de l'excellente présentation générale du dernier numéro, grâce aux
bons soins de notre secrétaire Thierry Cavoret - qui, soit dit en passant,
craignait "de passer pour un pervers en train de photocopier la photo d'un
mec en train de pisser" (voir page 55- TRI-CLAIR 30) - au-delà de cette
excellente présentation, donc, le contenu des articles est trop souvent
entaché de coquilles et autres fautes d'orthographe. Les phrases tronquées
succèdent aux conjugaisons douteuses et aux lettres manquantes ou en surnombre.
Tout cela serait sans importance si en même temps, les différents rédacteurs
ne tentaient de faire de l'humour au 17ème degré. Ainsi, à l'heure où vous
lisez ces lignes, certains planchent toujours sur des phrases ne voulant rien
dire, à la recherche d'une éventuelle astuce. A l'inverse, d'autres prennent
au sérieux des infos destinées à faire rire, comme le classement du challenge
d'été par exemple (merci Sylvain pour cette bonne blague !). Les Touyous Nous vous l'avions promis le mois dernier, voici la liste des triathlètes du CLAIR ayant été happés par des Touyous ces derniers mois. Il semblerait que tout le monde n'aie pas encore compris le sens profond de cette histoire de Touyous. Ils trouveront la réponse dans le n°29 de mars 96, page 18 (suivre scrupuleusement les instructions). AVRIL |